Barbie

Barbie

Quand

mardi 26 mars 2024    
20h00

La Margelle / Salle La Galerie
17 rue de l’Eau qui Court, Staffelfelden, 68850

Type d’évènement

Le film Barbie, ce sont des décors et des costumes sublimes qui donnent l’impression de voir l’univers de la poupée mannequin en grandeur nature. Ce sont aussi des numéros musicaux spectaculaires dignes des grosses productions des années 1950 dont la réalisatrice se revendique. 20Minutes

Captivant et drôle, “Barbie” est déjà culte. Marie-Claire

Bourré d’humour et de références, le film rappelle le meilleur des comédies girly comme Clueless et La Revanche d’une blonde. Public

On voit donc un spectacle efficace, drôle, plein de second degré, à la hauteur des enjeux. Femme Actuelle

Plus qu’un summer movie déconnant, plus qu’une diatribe amusante sur le patriarcat, Barbie est un film aux émotions complexes, à la fois une chose et une autre, pas tout à fait sûr de lui mais qui fait semblant de l’être, tour à tour drôle, triste, frondeur, inquiet… Un film humain, tout simplement. CinemaTesaser

Derrière la fable féministe et l’auto-critique bien huilée de la marque, Greta Gerwig parvient à faire gripper la machine, et embrasse les contradictions de cet étrange projet. Barbie interroge un progressisme parasité par sa récupération libérale et consumériste, sans pour autant baisser les bras. Un objet pop plus complexe qu’il n’y paraît, sublimé par ses acteurs. Ecran Large

Un film délicieusement barré où les répliques cinglantes cohabitent avec des réflexions plus sérieuses sur le féminisme, le patriarcat et l’estime de soi. LCI

Une renversante déflagration pop qui fera date. La Septieme Obsession

Moins acide qu’espéré, le bonbon coloré de Greta Gerwig n’en est pas moins savoureux. Barbie ne mise pas que sur son physique, le film repose aussi sur une narration diablement efficace qui oscille entre purs moments de comédie et élans plus tendres. Le Journal du Geek

Ce n’est pas parce que c’est rose que c’est idiot. La preuve avec le film de Greta Gerwig, qui est aussi l’histoire du « cogito ergo sum » de Descartes. Le Point

La surdouée Greta Gerwig déconstruit pièce par pièce la figure de Barbie et orchestre avec une aisance et une liberté salvatrices un manifeste féministe surpuissant autant qu’un cri du cœur contre l’absolutisme hétéronormatif. aVoir-aLire.com


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